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Pernette Du Guillet
1520-1545 / France
Poems of Pernette Du Guillet
À Qui Plus Est Un Amant Oblige (Rymes Xxiv)
A Un Sot Rimeur, Qui Trop L'Importunait D'Aimer (Epître Ii)
Aucuns Ont Dit La Théorique (Rymes Xlvi)
C'est un grand mal se sentir offensé
C'est une ardeur d'autant plus violente
Celle clarté mouvante sans ombrage
Combien de fois ai-je en moi souhaité
Comme le corps ne permet point de voir
Coq-à-l'âne -
Dames, s'il est permis
Désespoir
Heureuse est la peine
J'ai été par un long temps déçue - P
Jà n'est besoin que plus je me soucie
Je ne crois point ce que vous dites
Je suis la Journée
Je suis tant bien que je ne le puis dire
Je te promis au soir que...
L'une vous aime, et si ne peut savoir
La fortune envieuse
La nuit était pour moi si très-obscure -
Le Corps ravi, l'Âme s'en émerveille -
Le grand désir du plaisir admirable
Le haut pouvoir des Astres a permis
Mômerie des cinq postes d'Amour
Ô vraie amour, dont je suis prise
Or qui en a, ou en veut avoir deux
Par ce dizain clairement je m'accuse
Parfaite amitié
Point ne se faut sur Amour excuser
Pour une anatomie
Prenez le cas que, comme je suis vôtre
Quand vous voyez, que l'étincelle
Qui dira ma robe fourrée
Sais-tu pourquoi de te voir j'eus envie
Sans connaissance aucune en mon Printemps j'étais
Si j'aime cil, que je devrais haïr
Si je n'ai pu comme voulois
Soit que par égale puissance
Un seul je hais, qui deux me fait aimer
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