Parfois j’aimerai tant
j’aimerai tant faire cesser
Interrompre ces flots incessants
Incessants de pensées
Les faire taire ces mots cauchemar
Ces mots bazar, coincés dans mes tiroirs
On dit que la pensée est lumière
Alors mettez-y un interrupteur
Pour éteindre ces sorcières
Lorsque elles menacent mon bonheur
Pour moi, elles ne sont que poussière
Poussière qui assombrit mon cœur
Une soupe de mots
Mot maudits monotonie
Une soupe de mots
La mélancolie de mes envies
Une soupe de mots
Moi je survis et j’envie
Une soupe de mots
Ceux qui la nuit restent au lit
Une soupe de mots
Ceux qui n’ont pas le tournis