- Et quel bien de la Mort ? où la vermine ronge
- Ha ! que j'en voy bien peu songer à ceste mort
- Helas ! contez vos jours : les jours qui sont passez
- Il est vrai, mon amour était sujet au change
- Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
- Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre
- Je sens dedans mon âme une guerre civile
- Les vents grondaient en l'air, les plus sombres nuages
- Ma belle languissait dans sa funeste couche
- Mais si faut-il mourir ! et la vie orgueilleuse
- Mais si mon foible corps (qui comme l'eau s'escoule)
- Mon coeur ne te rends point à ces ennuis d'absence
- Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive
- Mon Soleil qui brillez de vos yeux dans mes yeux
- Mortels, qui des mortels avez pris vostre vie
- Ne vous étonnez point si mon esprit qui passe
- Pour qui tant de travaux ? pour vous? de qui l'aleine
- Quand le vaillant Hector, le grand rempart de Troie
- Qui serait dans les Cieux, et baisserait sa vue
- Qui sont, qui sont ceux-là, dont le coeur idolâtre -
- Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée
- Si j'avais comme vous, mignardes colombelles
- Si tant de maux passez ne m'ont acquis ce bien
- Sonnets On Love Xiii
- Stances
- Stances de la mort
- Sur sa fièvre
- Tandis que dedans l'air un autre air je respire
- Tout le monde se plaint de la cruelle envie
- Tout s'enfle contre moy, tout m'assaut, tout me tente
- Voulez-vous voir ce traict qui si roide s'eslance
- Vous languissez, mes vers...