Les Tænias
Que tu nias,
Traîtreusement s’en sont allés.
Dans la pénombre,
Ma clameur sombre
A fait fleurir des azalées.
Pendant les nuits,
Mes longs ennuis
Brillent ainsi qu’un flambeau clair.
De cette perte
Mon âme est verte ;
C’est moi qui suis le solitaire !