Fée ou démon, magicienne ou sorcier,
Je te maudis de grand cœur et pour cause :
Depuis hier je suis ton créancier.
Quand j’implorais un sourire de Rose,
La pauvre enfant sanglotait sur ta prose ;
Elle y perdit un bon quart d’heure, et moi,
Mille baisers, baisers de bon aloi,
Baisers sonnants… Adonc, Muse immortelle,
En t’acquittant, fais acte de vertu ;
Mille baisers sont une bagatelle ;
Tu mes les dois : quand donc me paîras-tu ?